Molina révèle que de nombreux joueurs sont accros au gaz hilarant

Romain Molina
Crédit: Romain Molina youtube channel

Le journaliste présent sur YouTube, Romain Molina a sorti une nouvelle vidéo où il dénonce certaines pratiques des jeunes joueurs de foot. Après la chicha et l’alcool, le nouveau fléau est le gaz hilarant.



Après ses accusations de racisme envers Stéphane Moulin, Roman Molina revient pour dénoncer certains comportements de jeunes footballeurs accros à la fête. Si certains joueurs prennent extrêmement soin de leur corps, d’autres sont accros aux soirées et à leur produit de consommation. Une nouvelle drogue est en vogue depuis quelques années, le gaz hilarant. Le journaliste révèle que certains joueurs de l’équipe de France en seraient totalement accros.

« Les trois quarts des joueurs font des soirées avec leur bonbonne de gaz »



Dans sa dernière vidéo publiée sur YouTube, le journaliste dénonce des pratiques dangereuses pour la carrière, et même la vie d’un footballeur : « Il y a toujours eu des fêtes dans le football. Mais le délire est différent aujourd’hui, avec le gaz hilarant ou le snus. Ces drogues sont devenues des acteurs communs de la vie quotidienne. Certains joueurs se foutent de l’hygiène de vie. Par exemple, le snus, qui est une pastille de nicotine à mettre au-dessus des gencives, c’est un véritable problème chez les jeunes, notamment dans les centres de formation. Les mecs sont accros à ça. Mais le pire, ce sont les ballons avec du gaz hilarant. Dans l’équipe de France, il y a plus de la moitié des joueurs qui sont accros au ballon d’hélium. En club, les trois quarts des joueurs font des soirées avec leur bonbonne de gaz. »

« Il y a quand même un jeune qui a fini à l’hôpital car il avait abusé : il était complètement stone, et il n’arrivait plus à bouger… C’est grave quand même ! La plupart des mecs dans le foot pro, ils n’ont pas d’hygiène de vie, c’est un leurre. En tout cas, il faut que les jeunes fassent gaffe. Une carrière va très vite… Entre les nouveaux produits et la grosse consommation, ça tue des gars. Certains jeunes de 24-25 ans ont des corps d’un gars de 40 ans… », constate Molina.