Episode 9/82 : Milwaukee Bucks 77 @ 104 Indiana Pacers

debats sports image par defaut
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Make it 9 ! Milwaukee n’a pas fait le poids face à la puissance et la maîtrise des Indiana Pacers. Nous sommes bien présents dans le game. On le domine. Au calme, sans pression, tranquillement. Et on se follow. 



100 !!! Un « sensationnel » Roy Hibbert, selon Frank Vogel et toutes les personnes ayant vu le match, a bien aidé les Indiana Pacers à battre les Milwaukee Bucks. Dès la fin du 1er QT, le point culminant du roster affichait 10 points et 4 contres. Ambiance. Zazazazazazazazaza Pachulia se faisait écraser tel un enfant français face à des Ukrainiens enragés. Au final, le grand Roy Hibbert qui, on le sait tous, ne mérite pas son contrat, termine à deux contres du triple-double avec 24 points, 10 rebonds et 8 contres. Ça fait 43 contres en 9 matchs. Écartez-vous. Et on ne compte pas le nombre de fois où les joueurs adverses changent la trajectoire de leur shoot parce qu’ils ont peur du monstre.

Booo.
Booo.

Pour le reste, Indiana a plutôt dominé du début à la fin. Un match qui ressemblait à ce qu’on pouvait imaginer en pensant à un match entre Indiana et Milwaukee. Paul George, discret en première période, a bien entendu pris feu dans le 3e quart-temps. O.J. Mayo fut le meilleur Buck face à un Larry Bird qui a toujours aimé le joueur. On a d’ailleurs failli l’avoir à quelques reprises, notamment dans un trade avec Tyler Hansbrough. On a bien vu les Bucks revenir à 6 points après un 9-0 en tout début de troisième quart, mais ça n’a pas duré bien longtemps. Un nouveau match maîtrisé, dominé, écrasé. 9-0.

MILIND2

Bulletin 

Mr Quik Man of the Game

RoyHibbert HIBBERT Roy

Mount Hibbert + Monster Hibbert = Mounster Hibbert.

Très Bien :

GEORGE Paul

Neuvième match consécutif à plus de 20 points. Un peu moins présent à la création, au rebond, mais ce qu’il fait à l’air si facile. Très beau joueur.

BANC Le

Faisons une généralité. Luis Scola, CJ Watson, Solomon Hill, Orlando Johnson, Ian Mahinmi ont tous un +/- d’au moins + 8. Il n’y a plus cette peur de l’avance qui fond comme neige au soleil quand le banc rentre. On a vu que Donald Sloan savait jouer également lorsque George Hill était sur le flanc. Chris Copeland, on sait ce qu’il peut amener. L’objectif de l’inter-saison, qui était de faire progresser ce secteur, a été réalisé avec brio. Et CJ Watson et Luis Scola, surtout.

Bien :

WEST David

D-Smoove. Il n’a rien forcé, a fait un match propre. Il n’a même plus besoin d’être divin.

Moyen :

HILL George

En délicatesse avec son shoot, l’ami Colline.

STEPHENSON Lance

Et oui, on devient exigeant. Il y a trois ans, un match comme ça lui aurait valu un très bien. Le -4 dans un match pareil fait tâche.